mercredi 13 mai 2015

Pouvez-vous me donnez des idées d’histoires please?
Coucou!

Bon matin, chers lecteurs/lectrices!
J’ai une triste nouvelle pour vous.
Préparez-vos oreilles!

Je vais arrêtez le journal de Dorothy Béa (tome 2).

Je n’ai plus d’inspirations.

Désolé.

vendredi 8 mai 2015

Le journal de dorothy béa (Tome 2.) ch.4

Comme personne n’étais là et que j’avais oublié mon roman à la maison, je m’en alla de la plage. Il ventait fort, mais pas assez fort pour que je retourne chez moi. Je n’en avais pas envie. On ne voyait plus grand-chose juste qu’à ce que je remarquais que j’étais en plein milieu de la rue. Et par malchance, une voiture traversait.
-         ATTENT…essayai-je de dire.
Puis tout d’un coup, tout devenu noir. Je n’entendais plus rien sauf les cris autour de moi.  Ou… les pleurs. Une femme apparu devant moi.
-         Reste ici, non… ne ferme pas les yeux. Reste avec moi.

Désolé madame, mais je ne peux pas. Je ne peux pas lutter, la douleur est trop dure. 
Le journal de dorothy béa (Tome 2.) ch.3

-         Hein? OK… Je m’appelle Fred.
Et il était vraiment mais vraiment beau. Ses cheveux blonds en batailles et es yeux bleus comme la mer était parfaits. Et avec son genre de tee-shirt, on pouvait remarquer ces muscles. OMG! C’était mon futur chum.
-         Moi, c’est Béatrice. Béa pour les intimes…
-         Alors ça sera Béa pour moi, dit-il avec un clin d’œil.

Fred me prit par la main et m’emmena dans l’eau. On s’éclaboussa pendant au moins une heure, puis il dût partir à cause qu’il avait un rendez-vous avec sa copine. Zut! Il va falloir que je le rende amoureuse de moi.
Le journal de dorothy béa (Tome 2.) ch.2

Lundi 9 juillet, 13h23 (2014)
Je me promène sur la plage, les pieds nue. Cette journée-là j’avais optée pour un mini tee-shirt rose avec des lignes rayé blanches. J’avais aussi un short blanc, des tongs rose pastel et un bracelet en or qu’Abuela1 m’avait donné.
(: Abuela veux dire grand-mère en espagnol. )
Quand alors; je remarqua quelqu’un au loin. Un garçon?
-         Hé toi! criai-je. Que fais-tu ici?
Il se retourna juste à temps pour me voir me cacher dans les hautes herbes.  Le gars se rapprocha juste assez pour voir mes cheveux blonds bouclées dépassées de ma queue de cheval. Merde!
-         T’es qui? Demanda-il. Et j’ai le droit d’être ici. Ce n’est pas TA plage.
Il me boucla le bec. Aucun gars ne m’avait parlé comme ça auparavant.
-         Ben là… c’est que… je croyais que t’étiaaiis… Euh. Que t’étais un inconnu hihihihi…



jeudi 7 mai 2015

Le journal de dorothy béa (Tome 2.) ch.1

Jeudi 13 octobre, 7h45 (2015)

Mme Winter m’ouvrit la porte avant même que je n’ai eu le temps de cogner. À tous les 7h45 précise, elle savait que je serais là.
-         Dorothy est malade, dit-elle.
Non! Pas aujourd’hui, ce n’était pas possible!
-         C’est une blague? Demandai-je.
-         Ben oui répondit Dorothy à la place de sa pauvre mère. Mme Winter avait attrapé une grosse grippe et ces temps-ci elle faisait des blagues… étrange.
Son muffin aux fruits fait maison à la main, Dorothy sortit de sa maison. Elle échappa son muffin et cria un juron.
-         Ce n’est pas grave, dis-je. Je t’en payerai un autre en route. En plus il y a le beau Fred qui travaille là comme caissier.

Fred, c’était mon kick. Il avait les cheveux blonds toujours en bataille, et les yeux bleus comme la mer. 
Le journal de dorothy béa (Tome 2.) - prologue


Je n’ai jamais vraiment aimée écrire; j’aimais mieux la math. Je ne sais pas si c’était à cause de la facilité que j’avais dans cette matière, mais j’aime les chiffres. Depuis que je suis toute petite. Pourquoi? Mon père rentrait toujours tard à cause de son ‘travail’. Alors pour passer le temps, je comptais les heures qu’il prenait. Et puis… j’ai rencontrée Dorothy. Je ne sais pas ce qu’il y avait avec elle, mais en fait on était déjà amies la première fois qu’on s’est vues. Un garçon nommé Zak lui tirait les cheveux et j’ai été la défendre. Il ne lui a plus jamais tanné après ça. Ha, ha! Tout ça pour dire que… je vais commencer un journal intime.

mardi 5 mai 2015

Le journal de Dorothy – ch.21 (chapitre final)

(Deux ans plus tard)

Je suis encore en couple avec Fred, et Béatrice est encore ma meilleure amie. Elle est enceinte d’un petit garçon nommé Loïc (ils avaient déjà choisis son chum et elle). Je suis à l’université, et j’étudie en droit. Je veux être avocate plus tard. Pis c’est ça ma nouvelle vie. Antoine a une nouvelle blonde : Béa! Et oui, c’est lui le fameux chum de Béatrice. C’est comme si les couples auraient été inversée. Mais je m’en fou. Je ne me laisse plus vraiment atteindre par ça.

Dorothy


Le journal de Dorothy – ch.20

Je me décolle et retourne chez moi. J’étais comme sur un petit nuage rose avec des zigs-zags bleus.
Il fallait que j’appelles Béatrice pour tout lui expliquer. Justement, elle m’appelle elle-même. Je vais passer un mauvais moment…
Moi : Salut!
Béa : Allô. Euh. Je voulais juste te dire que..
Moi&Béa : Je suis désolée.
Moi : Ha ha! Ben là, c’moi qui ai désolé. J’ai embrassé ton chum, quand même. C’est un coup bas entre meilleure amie – à pars de dire à tout le monde que tu portes des sous-vêtements en hello kitty -.
Béa : Ouin. Mais bon, je te pardonnes parce que l’amitié c’est fort! Je t’aime ma Dorothy chérie!

Moi : Moi aussiiiii ma lice Béatrice d’amour! Ha, ha!
Le journal de Dorothy – ch.19

Moi : Ben non. De toute façon, il m’a trompé.
Fred : Hein!? Il t’a trompé! Moi je n’aurai jamais fait ça.
Moi : Je sais. C’est pour ça que…
Et là c’est comme si on était des aimants; on s’est sauté l’un sur l’autre (c’est une expression!). Il embrasse vraiment bien; il goûte la barbe à papa rose! Humm. Je savoure ce moment de délice. Comme quand ma mère me fait des crèpes avec du nutella. Fred, c’est ma drogue à moi seulement.


Le journal de Dorothy – ch.18

Ouate?!
Moi : Euh… OK…
Lui : Bon. On reste amis?
Je répondis oui. Le lendemain, j’alla voir Fred.
Moi : Salut!
Fred : Hé… je n’attendais vraiment pas à te voir ici.
Moi : Hé,hé… je suis pleine de surprise. Et; il faut qu’on parle.
Fred : Je sais. Du baiser?
Moi : Ben non. De la vache qui a pété tantôt. Oui du baiser!!!

Fred : Ha ha. OK. Je commence; je suis vraiment ultra beaucoup trop désolé. C’est ma faute si tu as rompu avec Antoine. 
Le journal de Dorothy – ch.17

Moi(une larme qui coule sur ma joue) : Je t’ai tromper. Mais c’est un accident!
Antoine recula. Il lâcha ma main d’un coup sec.
Lui(d’un ton froid) : Comment est-ce arrivée, cet ‘accident’?
Moi : Il m’a embrassé, et… j’ai répondu.
Lui(qui sourit) : Ah, pas grave. Moi aussi je t’ai trompé!

Hein?
Le journal de Dorothy – ch.16

Merde. Je vais mouriiiir. Pourquoi Fred m’a embrassée?! Pourquoi moi? Est-ce que je suis si belle que ça? Bof. Je suis plutôt normale. Tout le monde aime une châtaine aux yeux bleus ou quoi?!
19h30
Antoine arrive. Je lui dis direct ou je tourne autour du pot? Hum.
Moi : Salut…
Antoine(en se rapprochant pour m’embrasser) : Salut ma belle! Qu’est-ce qui se passe?

Moi(en le repoussant) : Il y a quelque chose que je dois te dire. C’est vraiment important.

Le journal de Dorothy – ch.15

Fred
J’avais tout détruit. Tout. L’amitié entre moi et dorothy, l’amitié entre dorothy et béatrice, la relation entre antoine et dorothy et ma relation avec béa. Je suis vraiment inutile. Ça m’énerve. Je m’énerve! Je suis comme le méchanr dans l’histoire, sérieux.
Dorothy
Je vais le dire à Antoine, je n’ai pas le choix. Sinon ça ne va que faire qu’empirer.
Dorothy (en ligne) :                                               19h01
Est-ce qu’on pourrait se voir? #URGENT
Antoine (en ligne) :                                                19h03
Bien sûr mon amour.

Le journal de Dorothy – ch.14

Qu’est-ce que je vais faire? Mentir à Antoine, ou lui dire la vérité? Dans les deux côtés, je suis coupable. Pourquoi Fred a tout gâché?!
?: Oh!                  
Oh non. Béatrice.
Moi : Béa… ce n’est pas ce que tu crois! (les larmes me montaient aux yeux) je… n’aime pas Fred!
Fred : Mais…
Béatrice(maintenant plus rouge que jamais) : Je ne veux plus rien entendre. Fred; c’est finis toi et moi. Et toi, Dorothy; tu m’as déçu et c’est finis notre amitié. Ne compte plus sur moi désormais pour jouer avec toi aux Barbies.

Moi : Eille! C’est un secret, chut! Pis c’quoi l’affaire? Pourquoi tu en rajoutes plus à moi qu’à Fred!? 

lundi 4 mai 2015


Le journal de Dorothy – ch.13
Fred

J’alla la rejoindre, essoufflé. Je sais que je n’avais pas été gentil d’être sec avec elle, mais je devais prendre mes distances. Elle avait déjà quelqu’un dans sa vie amoureuse. Et moi aussi, malheureusement. Pourquoi j’avais choisis sa meilleure amie? Pour la rendre jalouse? Je ne sais pas. je voulais être à elle. C’était la mienne. Antoine, tu vas le payer.
Dorothy

Je ne sais pas trop comment ça s’est passée, mais Fred m’embrassa. C’est drôle car je ressentis les mêmes papillons que quand j’avais embrassé Antoine. Ça ne peut pas arriver! Je trompe Antoine?! (Oui parce qu’il m’avait demander de sortir avec lui en texto…) Je ne pouvais pas faire ça. Mais… je ne pouvais pas le décollée de moi. Comme si j’étais attacher à lui…

Le journal de Dorothy – ch.12

Moi : Bon… Euh. Bye… Ben pas bye la, mais tsé pour le cours faut qu’on révise pis toute l’affaire-la. C’est chien! J’aime pas l’école. Toi? Euh non, non laisse faire je suis conne ha, ha!
Fred : Bon si ça te dérange pas, faudrait que je me concentre.
Je ne perçois plus la lueur d’espoir qu’il avait dans ses yeux. En fait, c’est comme s’il avait changer la couleur de ses yeux, d’un air plus sombre. C’est vraiment bizarre.

Quand la cloche sonna une deuxième fois, j’étais soulagée. J’avais vraiment travailler dur! (est-ce que dessiner le visage d’Antoine veut dire travailler dur?) Je descendis les escaliers puis alla m’asseoir sur un banc. Fred venu me rejoindre aussitôt.
Le journal de Dorothy – ch.11

Moi (en m’adressant à Fred, le chum de ma meilleure-meilleure-mais-vraiment-meilleure-amie) Où est Béatrice?
Fred : Elle est partie chez elle, elle a vomis à ta place – sans faire exprès bien sûr - .
Moi (dégoûté) : OK…
Fred : Pourquoi?
Moi : J’voulais lui dire des trucs de filles. Super important, qui m’a remonté le moral. Parce qu’hier… un gars m’a posée un lapin pis j’ai mangé du chocolat et tout… et là je l’ai embrassée il y a pas longtemps. Ha ha ha, c’est bizarre que je te dise ça!
Fred (il était devenu blanc comme s’il avait vu une poule. Euh…non, comme s’il aurait vu un fantôme!) : OK. (son ton était venu sec.)



Le journal de Dorothy – ch.10


Il me rendit mon baiser. Il dura presque une minute. J’étais heureuse. Mais j’étais plus que tout sur une planète, Antoine et moi, tout seuls avec pleins de licornes qui sautent autour de nous. C’était comme si on était que nous deux. Que le monde autour avait disparu. J’aurai aimé que ça dure plus longtemps, mais la maudite cloche avait sonnée. Grr. On se décolla et il me fit un clin d’œil. (Bien sûr, je rougis. Merde !) Je m’empresse d’aller dans ma classe de français pour tout raconter à Béa.