mercredi 3 juin 2015

Une histoire comme les autres – ch.1

À : thelazyhorse@hotmail.com
Objet : Je haïs les lundis
Date : Lundi, 27 avril (2015) à 18h36
Hey!
Comment tu vas? Ton frère est encore à l’hôpital? Il reprend des forces? Bref, je vais te raconter ma journée en détails (mais pas trop quand même, je ne vais pas te raconter qu’est-ce que j’ai fait aux toilettes etc.). Pour commencer, cette nuit je me suis réveillé à toutes les heures. Donc, évidemment, on avait un test d’espagnol le lendemain. « Génial », je me suis dit. Quand je suis arrivée à l’école, tout le monde me regardait. Ne me demande pas pourquoi! C’est juste quand que j’ai ouvert mon casier et que je me suis regarder dans le miroir que 1) j’avais un gros bouton sur le nez qui était vraiment très rouge  2) j’avais oublié de me changer et 3) C’ÉTAIT MON PYJAMA ROSE AVEC DES CŒURS ET DES CALINOURS DESSUS!



mardi 2 juin 2015

Une histoire comme les autres – prologue

Je m’appelle Élodie, et j’ai 15 ans. Difficile à croire une fille qui raconte sa vie en courriel à sa meilleure amie trèèèès loin, n’est-ce pas? C’est ma première année au secondaire sans Émilie. Malheureusement pour elle, Émilie va manquer beaucoup de choses et de secrets (peut-être même trop)…
À suivre


mercredi 13 mai 2015

Pouvez-vous me donnez des idées d’histoires please?
Coucou!

Bon matin, chers lecteurs/lectrices!
J’ai une triste nouvelle pour vous.
Préparez-vos oreilles!

Je vais arrêtez le journal de Dorothy Béa (tome 2).

Je n’ai plus d’inspirations.

Désolé.

vendredi 8 mai 2015

Le journal de dorothy béa (Tome 2.) ch.4

Comme personne n’étais là et que j’avais oublié mon roman à la maison, je m’en alla de la plage. Il ventait fort, mais pas assez fort pour que je retourne chez moi. Je n’en avais pas envie. On ne voyait plus grand-chose juste qu’à ce que je remarquais que j’étais en plein milieu de la rue. Et par malchance, une voiture traversait.
-         ATTENT…essayai-je de dire.
Puis tout d’un coup, tout devenu noir. Je n’entendais plus rien sauf les cris autour de moi.  Ou… les pleurs. Une femme apparu devant moi.
-         Reste ici, non… ne ferme pas les yeux. Reste avec moi.

Désolé madame, mais je ne peux pas. Je ne peux pas lutter, la douleur est trop dure.